Entrer à la CeBIT, c’est devoir choisir entre des dizaines de halles immenses, véritables portes de l’enfer ou du paradis, selon les appréciations glanées ici et là.
Une chose sur laquelle tout le monde semble s’accorder, c’est que le motto du salon est la transformation digitale, chapeautant un mouvement de fond qui combine à la fois centralisation de données (big data), utilisation de services web externes (API) , nouveaux systèmes d’automatisation (dématérialisation), nouveaux processus industriels (Industrie 4.0), nouveaux objet connectés (IoT)…
Une bonne nouvelle qui sollicite les équipes informatiques à s’intégrer dans des nouvelles équipes distribuées, transverses, avec un but commun: améliorer l’équilibre entre interactions directes et automatisées, entre employés et consommateurs.
Une très bonne nouvelle pour Elium qui se voit propulsé comme backbone de la transformation digitale pour une raison élémentaire: il n’y a pas de transformation sans partage accru et accéléré de connaissances!
Présent sur scène dans la Social Business Arena, nous avons eu l’occasion de nous exprimer sur les avantages concrets d’une approche orientée connaissances face aux éditeurs typé Social Business.
Etre présent au CeBIT nous a permis d’observer la profondeur de ce mouvement à une échelle mondiale. La concurrence n’a jamais été aussi grande face à une accélération des cycles de production, bouleversés par des centaines de disruptions et l’explosion de services Cloud.
Nous sommes fiers d’être un vecteur de croissance et de durabilité pour nos partenaires. Rejoignez sans attendre notre communauté pour être notifié sur les implications et opportunités de cette révolution.
*”senseurs humains” – A lire sur le sujet:
• Frédéric Laloux, “Reinventing organisations“,
• Lee Bryant, “The Quantified organisation in digital transformation“
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